La Russie se retirera du projet de Station spatiale internationale (ISS) dans quatre ans, rapporte Roscosmos.
Actuellement, le Canada (Agence spatiale canadienne (ASC)), la Russie (Agence spatiale fédérale (Roscosmos)), les États-Unis (Administration nationale de l’aéronautique et de l’espace (NASA)), le Japon (Agence japonaise d’exploration aérospatiale (JAXA)) y participent. et des pays européens ( membres de l’Agence spatiale européenne (ESA)).
Le module de base de la station spatiale russe sera le module scientifique et énergétique (SEM), construit à l’origine pour l’ISS, mais qui n’a jamais été lancé. Comme l’a déclaré Dmitri Rogozine, directeur général de la société d’État Roscosmos, elle sera repensée et rendue « plus indépendante » en matière d’orientation dans l’espace, d’énergie et de systèmes de survie.
Dans un premier temps, la station sera composée de quatre modules : celui de base, le NEM similaire, le hub et la passerelle. Dans un deuxième temps, des modules de cible et de production devraient y être ajoutés, ainsi qu’une plate-forme de maintenance des engins spatiaux.
Selon les données officielles, la station est conçue avec une architecture ouverte et une durée de vie illimitée grâce au remplacement des modules. Il sera plus grand que Mir, volera sur une orbite avec une altitude de 400 kilomètres et une inclinaison de 98 degrés, ce qui permettra d’observer toute la surface de la Terre, principalement l’Arctique et la route maritime du Nord.
Уже все прос..ли, китайцы впереди нас в освоении космоса, наши все навороваться не могут