Les trous noirs «légers» anormaux sont les trous primordiaux de l’Univers
Les trous noirs se forment soit lors de l’effondrement d’une étoile massive, soit lors de la fusion d’objets lourds. Cependant, les scientifiques soupçonnent que des trous noirs «primordiaux» plus petits, dont certains avec des masses similaires à celle de la Terre, pourraient s’être formés dans les premiers moments chaotiques du début de l’Univers. Lorsque nous pensons aux trous noirs, nous avons tendance à imaginer d’énormes monstres cosmiques, tels que des trous noirs de masse stellaire dont la masse est des dizaines à des centaines de fois supérieure à celle du Soleil. On peut même imaginer des trous noirs supermassifs, avec des millions (voire des milliards) de fois la masse du Soleil, assis au cœur des galaxies et dominant leur environnement. Une équipe de scientifiques a prédit que le télescope spatial Nancy Grace Roman de la NASA pourrait détecter une classe de trous noirs «légers» qui ont jusqu’à présent échappé à la détection.
Le réchauffement climatique entraîne une modification de la vitesse de rotation de la Terre et une modification de la durée du jour
La fonte des glaces polaires entraîne une modification de la vitesse de rotation de la planète, ce qui affecte à son tour le calcul global du temps, a montré une étude de l’Université de Californie, rapporte la revue scientifique Nature. Des géophysiciens de l’Université de Californie ont découvert que le ralentissement de la rotation du noyau terrestre, combiné à la fonte des glaciers de l’Antarctique et du Groenland, conduirait au fait qu’en 2029, l’humanité devra raccourcir, plutôt que d’augmenter, la longueur de la journée pour la première fois.