Caractéristiques du paysage sur Mars – nouvelles découvertes
Olympus Mons est l’un des douze grands volcans, dont beaucoup sont dix à cent fois plus hauts que leurs homologues terrestres. Si le tourisme spatial martien décolle dans les décennies à venir, Olympus Mons pourrait devenir une destination privilégiée pour les amateurs d’aventure. L’Olympe était peut-être autrefois une île volcanique entourée d’un océan de près de 6 km de profondeur, selon les preuves géologiques trouvées dans les hautes falaises. Une autre nouvelle étude a révélé que le rover a découvert des coins polygonaux à 35 kilomètres sous terre – c’est la première fois qu’ils sont découverts sous la surface de la planète. Les preuves suggèrent que ces coins se sont formés il y a entre 3,7 et 2,9 milliards d’années en raison des changements climatiques majeurs survenus dans le passé de Mars. L’orbiteur Mars Express a découvert suffisamment de glace d’eau enfouie sous l’équateur de la planète rouge pour recouvrir la planète entière d’un océan peu profond si elle fondait.
Le glacier Columbia, en Alaska, est l’un des glaciers dont l’évolution est la plus rapide au monde
La mission Copernicus Sentinel-2 de l’ESA (Agence spatiale européenne) a exploré le glacier Columbia en Alaska, l’un des glaciers dont l’évolution est la plus rapide au monde. Le glacier Columbia est un glacier de marée qui coule sur les pentes enneigées des montagnes Chugach. Les montagnes contiennent la plus grande concentration de glace glaciaire en Alaska. Depuis le début des années 1980, le glacier Columbia a reculé de plus de 20 km et perdu environ la moitié de son volume total. Ce glacier représente près de la moitié de la glace perdue dans les montagnes Chugach.
Antarctique : l’humanité a encore le temps de se préparer à la montée rapide du niveau de la mer
Les glaciers de l’Antarctique fondent à un rythme catastrophique, mais l’humanité a encore le temps de se préparer à une montée rapide du niveau de la mer. Une équipe internationale d’océanologues a découvert que des courants assez forts et chauds se déplacent à travers de grandes fissures à la base des glaciers marins de l’Antarctique, ce qui accélère le processus de fonte de ces masses de glace, empêchant ainsi les glaciers continentaux de l’Antarctique de « glisser » rapidement dans la mer. . Le retrait des glaciers de l’Antarctique dû à la hausse des températures estivales a entraîné la fonte des mousses anciennes. Les mousses fossiles, enfouies sous la glace depuis plusieurs milliers d’années, sont devenues accessibles aux micro-organismes et sont devenues une source de méthane, un gaz à effet de serre.
Le pôle Sud de la Terre fond et se fissure, et de nombreuses nouvelles failles se sont ouvertes ces dernières années
Le glacier Glenzer-Conger s’est effondré dans l’est de l’Antarctique, une zone longtemps considérée comme stable et peu affectée par le changement climatique.
La calotte glaciaire du Groenland préserve le cratère d’impact d’un astéroïde de deux kilomètres et une végétation ancienne
La calotte glaciaire du Groenland est la deuxième plus grande sur Terre après la calotte glaciaire de l’Antarctique et couvre 1,5 million de mètres carrés, avec des profondeurs de glace atteignant 3 000 mètres.
La fonte des glaciers révèle des espèces inconnues et des restes de météorites
Les glaciers sont capables de préserver des informations sur l’histoire de la Terre, car ils piègent les particules de poussière, les traces de gaz, les microbes et les matières végétales de l’environnement.
La fonte des glaces contribue au déplacement des pôles terrestres et des zones tropicales
Les pôles de la Terre se sont déjà déplacés de quatre mètres et ce processus se poursuivra à l’avenir. Les scientifiques pensent que les raisons de ce déplacement sont la fonte des glaciers et la consommation excessive des eaux souterraines.
Le réchauffement climatique contribue aux violentes tempêtes et inondations
L’Organisation météorologique mondiale prévient que les températures élevées de l’eau entraînent une élévation du niveau de la mer, ce qui augmente le risque d’inondations.
D’ici le milieu du 21e siècle, la glace arctique pourrait fondre complètement en été
Le « réfrigérateur » de la planète est en panne. L’océan Arctique sera totalement exempt de glace estivale d’ici 2030. Cette hypothèse a été avancée par des scientifiques en relation avec le réchauffement notable de l’océan Arctique et la fonte des glaces arctiques.